Sur son blog, Alexandra Koszelyk anime des ateliers d’écriture et propose d’écrire chaque jour de ce confinement à partir d’une photo. L’idée m’est venue d’y participer.
A partir du Jour 18, Alexandra Koszelyk a changé les règles de son atelier d’écriture.
Aussi, j’ai décidé de poursuivre seule le fil des posts tout le temps du confinement. Merci pour vos retours !
JOUR 55
Dernier jour du confinement Paroles parodiques sur la chanson Je Suis Venu Te Dire Que Je m’En Vais par Serge Gainsbourg LA SUITE ICi
JOUR 54
Affichés lors de la conférence de presse du Président dans la classe, les dessins de “Coeur d’Artiflo” décrivent les gestes barrières. Je vous les présente avec un petit coloriage pour finir et une chanson inspirée de ces affiches. La suite ici
JOUR 53
Hier a eu lieu la dernière super lune de 2020. La Super Lune est un phénomène qui se produit lorsque la Lune est sur le point de son orbite le plus proche de la Terre. La suite ici
JOUR 52
Aujourd’hui pour un hommage
Batman et Spiderman sont mis à la poubelle. Nos héros ont changé. Banski rend hommage aux soignants britanniques. La suite ici
JOUR 51
Aujourd’hui jour 51 du confinement, une petite vidéo anti-déprime : un court-métrage d’animation poétique et rock ‘n’ roll ! La suite ici
JOUR 50
Alors, vous mes abonnés (que je remercie sincèrement) et d’autres peut-être, en ce jour 50 de confinement, je vous ouvre les commentaires pour donner lisibilité à votre investissement en signalant votre blog, votre site ou, en quelques mots, parler de votre rapport à la culture, de ce qui nous relit, de ces fils invisibles mais indispensables…La suite ici
JOUR 49
Aujourd’hui au jour 49 du confinement, je suis inquiète par l’ouverture des écoles à partir du 11 mai. La suite ici
JOUR 48
Pour le plaisir de partager et peut-être de découvrir… Aujourd’hui au jour 48 du confinement, je vous présente la minute confinée de Pascale Clark: La suite ici
JOUR 47
Pour le plaisir de partager et de découvrir
Aujourd’hui au jour 47 du confinement
je vous présente du Street-Art. La suite ici
JOUR 46
Pour chanter ensemble en ce jour de 1er mai : Une symphonie confinée avec la chanson “Laissons entrer le soleil”. La suite ici
JOUR 45
Les plus âgés connaissent cette chanson qui était en tête des hits à l’époque: “En rouge et noir” de Jeanne Mas. Et aujourd’hui, son refrain m’a trottée dans la tête “En rouge et vert”… La suite ici
JOUR 44
Lettre d’intérieur de Tatiana de Rosnay La suite ici
JOUR 43
Aujourd’hui, nous pouvons être fiers de notre civisme et de solidarité. La suite ici
JOUR 42
Remerciements pour tous ceux qui travaillent pour que nous puissions rester chez nous mais par une classe très particulière…. La suite ici
JOUR 41
Envie de voyager, c’est ici. La suite ici
JOUR 40
Quarante jours en quarantaine…
La vie nous la joue façon balancelle !
Ce traumatisme mondial
rend caduque
toute envie de penser,
tout besoin de parler,
remplaçant la sève
par cette frayeur ventrale
qui assigne à dictature. La suite ici
JOUR 39

JOUR 38
Pendant cette période de confinement, au moment où par le monde la plupart des écoles sont fermées, les livres restent des indispensables pour élargir notre horizon et stimuler notre créativité.
Mais, pour prendre le temps de lire, il faut avoir l’esprit dégagé.
Comment imaginer s’évader lorsque le quotidien est trop difficile. Parmi les passionnés que nous sommes, nous nous en sommes rendus compte : au début de cette période, lorsque l’inquiétude était invalidante, lorsque chacun avait trop peur, lorsque nous guettions les signes, l’un d’une fièvre, l’autre de courbatures, etc, nous ne pouvions…même pas lire ! La suite ici
JOUR 37
Pour le plaisir des yeux et celui de la lecture
JOUR 36
Aujourd’hui, une vidéo qui rappelle l’importance de la lecture, et plus généralement de la culture dans nos vies.
C’était vrai dans nos vies d’avant.
C’est absolument nécessaire dans nos vies de confinés. Et le monde de la culture le sait puisqu’il met en ligne actuellement et gratuitement des explications, visites ou événements qui permettent de s’évader de cette situation insolite. La suite ici
JOUR 35
Une histoire à lire, découvrir ou raconter est reçue dans sa boite mail comme la série Tracts de crise. J’ai choisi de la reproduire ici et d’en enregistrer sa lecture. La suite ici
JOUR 34
Nancy Liang est une artiste de Sidney en Australie qui réalise de très poétiques GIFs de scènes nocturnes. En combinant dessin, découpe et numérique, elle réalise des images animées dans la nuit. En cette période de confinement, ce Gif prend tout son sens. La suite ici
JOUR 33
Cela fait presque une semaine que toute le monde réagit à une petite phrase de notre Président. Il n’avait fait que la répéter de la Présidente de l’UE : il faudra poursuivre le confinement pour les personnes âgées après la date du 11 mai . Drôle, non !
18 millions de personnes devaient rester chez elles avait même ajouter le professeur Jean-François Delfraissy, Président du comité scientifique, qui conseille Élysée, lui-même âgé de 71 ans. Drôle, non ! La suite ici
JOUR 32
Le youtuber Doodle Chaos avait du temps à perdre et il l’a utilisé à bon escient. Il a réussi à synchroniser Dans l’antre du Roi de la Montagne de Grieg avec le jeu vidéo Line Rider, où le but est de créer une piste de luge à faire dévaler à un petit personnage. Impressionnant. La suite ici
JOUR 30
Conte de notre vie pas ordinaire
Une date trouvée comme par hasard sur le calendrier. Ça sonne bien. C’est goûtu en bouche.
Pas de manifestation pour le premier mai. Encore un peu de calme devant l’appartement, pour que Mademoiselle From A, la bonne amie de Bridge, puisse encore regarder par la fenêtre de beaux oiseaux en écoutant sa chanson préférée « Ma cabane à l’Ehpad » .
Malgré tout, Bridge reste inquiète. Comment lui annoncer qu’on ne pourra pas se taper la bise avant les fêtes de fin d’année ? Comment empêcher son hamster de s’affoler en mode folie dans sa cage dorée ? La suite ici
JOUR 29
Une chronique écrite il y a longtemps….Juste pour le plaisir de voyager dans son fauteuil pendant cette période de confinement !
Par le Thallys, et à condition d’obtenir des prix avantageux, Bruxelles est une ville agréable à visiter pour quelques jours, un WE ou même une petite semaine. La suite ici
Jour 28
Pourvu que demain soit plus beau qu’aujourd’hui !
Il faudra bien s’en soucier alors …La suite ici
JOUR 26
En ce mois d’Avril 2020, les trois religions dites du Livre rassemblent leurs fidèles autour du partage, de la solidarité et de la fête. Des millions de croyants vont échanger avec joie et recueillement. Trois photographies illustrent pour moi ce temps particulier sous Covid -19. La suite ici
JOUR 25

JOUR 24
Aujourd’hui, je vous lis un des « Tracts Gallimard » qui se réinvente durant le confinement. La suite ici
JOUR 23
Aujourd’hui, je vais laisser parler une photographie que je trouve magnifique, sans mot, sans phrase, car l’art, quelque fois, n’a pas besoin de mot, juste que le cœur s’ouvre …La suite ici
JOUR 22
Un jeu pour les enfants,
Un barbecue à placer sur la table,
Un livre pour mère-grand,
Un repas Sushi à partager…
Est-ce que ça vaut la peine ?
JOUR 21
Joan Baez a adressé un morceau à la France, depuis la Californie : une reprise de Chanson pour l’Auvergnat qui, comme un feu de bois, chauffe le corps et le cœur. La suite ici
JOUR 20
J’aurais voulu vous parler de tant de choses … Mais aujourd’hui, c’est dimanche ! Trois semaines, déjà ! Vingt ou vingt et un ou vingt deux jours de confinement. Aujourd’hui, il fait très beau en Ile de France. Le ciel d’un bleu sans pollution nargue tout voyeur à travers sa fenêtre. A croire que le temps a choisi de nous faire tourner en bourrique ! … La suite ici
JOUR 19
Non seulement, chez moi, l’oiseau effrayé peut difficilement s’apaiser mais le cobra de colère n’est qu’en mode tonnerre.
L’oiseau a peur de souffrir et même de mourir ou qu’il lui reste de l’emphysème pour lui et ceux qu’il aime…La suite ici
JOUR 18
Lettre d’intérieur – France Inter
« Nous pensons à vous parce qu’en plus des murs clos, un Minotaure vous terrorise » – Sorj Chalandon
JOUR 17
L’idée lui était venue un soir de confinement. En se rappelant qu’après le 11 septembre 2001, les New-yorkais avaient bien eu l’idée de construire deux tours jumelles plus grandes encore que les précédentes. Le Word Trade Center avait pointé son nez cinq ans plus tard. Alors par cette pandémie, l’humanité entière avait été touchée. Le virus avait frappé tout le monde sans différence de sexe, d’âges, de couleur de peau ou de cheveux, de culture, de langage ou de pays. On n’avait toujours pas fini de comptabiliser les pertes humaines puis de les modéliser. La suite ici
JOUR 16
C’était sa boîte. Son univers privé se réduisait aux dimensions 20x17x30. Juste le numéro lui garantissait son espace. On avait le droit d’installer un cadenas. Personne ne le faisait depuis que des petits malins les avaient fracturés de façon systématique les mois précédents. Il pouvait y mettre ses affaires avant et les reprendre après. A l’époque, le carré noir permettait d’y apposer une plaque. Là encore, ce détail était devenu superflu. On avait bien pensé à les repeindre, mais voilà, le temps était passé et ça n’avait jamais été fait. Alors quand chaque année, il le retrouvait, c’était le plaisir qui s’invitait. La suite ici
JOUR 15
Comme j’aurais aimé me prélasser sans méfiance
Sur les bords de l’étang !
Comme j’aurais aimé m’endormir quelques minutes
et retrouvé mon insouciance !
L’air pur. Le soleil chauffant.
Tout m’y invite et m’y attire. La suite ici
JOUR 14
Ce matin, je voudrais partager cet article signé par Florence Aubenas dans le Monde :
Coronavirus : à l’Ehpad des Quatre-Saisons, la vie et la mort au jour le jour https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/03/31/coronavirus-a-l-ehpad-des-quatre-saisons-la-vie-et-la-mort-au-jour-le-jour_6034982_3224.html via Le Monde. La suite ici
JOUR 13
Il s’appelait Daoudja.
Mort à l’hôpital dimanche soir sans avoir repris connaissance.
Des séquelles cérébrales irréversibles avaient été constatées à son domicile
faites par les violences exercées par son père, vendredi.
Il avait six ans. La suite ici
JOUR 12
Un , deux, trois,
A vos agendas.
Quatre, cinq, six
Elles sont à l’affiche. La suite ici
JOUR 11
Lorsqu’il la retrouva au fond d’une boîte à couture, cette photo, un peu trouble, le transporta directement à l’âge de ses huit ans. C’est drôle comme un cliché a le pouvoir de vous faire revivre instantanément le moment représenté. Près de soixante ans, et les odeurs, le soleil et la saleté de ses mains lui revenaient. La colère de sa mère, aussi, de constater que le joli costume était plein de cette terre qui n’était plus la sienne. Là, à cet instant, il retrouvait aussi sa fierté. Le petit parigot, il y était arrivé !La suite ici
JOUR 10
Pour rejoindre la maison de Lucien, il suffisait de quitter la route principale, passer le petit pont et monter la pente sinueuse qui débouchait au cœur du village. En arrivant, les calades, ces pierres de lave sculptées au murs des maisons, faisait avancer les enfants des touristes. Il fallait traverser une place magnifique et laisser le terrain de boules pour s’engager dans une ruelle qui descendait à la plage de la rivière fréquentée les jours de canicule. La maison était là sur une toute petite placette. La suite ici
JOUR 9
Chatons roses sur fond brun hurlent façon militant
Au sein de l’univers Re – nou – vel- le- ment !
Liberté sauvage, La suite ici
JOUR 8
Sorj Chalandon a une histoire à vous raconter. Ça parle de bars (de quoi?!), de bière, d’écriture, d’auteurs et de journal de confinement. La suite ici
JOUR 7
Marre. Marre. Marre. Qu’est-ce qui l’avait prise de se précipiter dans le rangement de son garage dès l’annonce du confinement. Les newsletters reçues le lundi vantaient les bienfaits de cette attitude. Comme si enfermement pouvait rimer avec nettoyage de printemps ! C’était sans prendre en compte l’inquiétude et les nouvelles alarmantes. Car, malheureusement, ça commençait à arriver. Untel qu’on connaissait depuis des années était à l’hôpital. La suite ici
JOUR 6

Narcisse féminine voit son double essayer de s’agiter pour ne pas couler. Quelle belle illustration de l’état dans lequel nous sommes ! Confiné dans cette matrice qu’est devenu notre foyer à essayer de ne pas céder à la peur de mourir. La suite ici
JOUR 5

Le parchemin était apparu dans son église au printemps lorsque la Mairie avait consenti à réparer la flèche qui menaçait de s’écrouler. L’ouvrier qui l’avait trouvé le lui avait remis en disant qu’il en ferait meilleurs usages que son patron un peu borné. Le traducteur capable d’en transmettre le message avait fait son boulot. Et, maintenant, il savait ! Impossible de ne pas croire ce qui était écrit. La suite ici
@ MHM/ CH
JOUR 4
Ce soir là, la brume avait envahit la ville. En relevant le col de son manteau, il se dit que décidément, il aurait du mieux se couvrir. La douceur de l’écharpe tricotée par grand-mère lui manquait.
Sorti trop tard de son boulot, il s’apprêtait à rentrer, à retrouver ses deux pièces dans sa cité, trop petites pour abriter d’autres que son chat et lui. La suite ici
@ Barna Kovács
JOUR 3
Le jaune, pour la folie.
Le noir, pour le deuil.
Réveillée au milieu de la nuit, je tourne en rond.
Un cauchemar m’a réveillée,
Envahie par ma peur. La suite ici
JOUR 2
Bon, là, il va falloir y aller! Antoine avait eu envie de s’allonger sur son canapé et de faire sa sieste. Mais, là, s’il ne se boostait pas un peu, sa récolte il devrait y renoncer.
Et, que ferait Maryvonne et ses trois enfants dans quelques semaines sans récolte ?
Et, puis son copain Aldo, 82 balais, qui devait passer cet après-midi. Bon, d’accord, plus pour faire la causette que pour jardiner. La suite ici
JOUR 1
Elle n’avait pas cru que cela serait possible de se retrouver là à côté de cette jeune femme et devant ce phare vu il y a si longtemps.
Elle n’était vraiment plus toute jeune. Elle n’avait jamais connu cela. Quinze jours, et encore tant de jours après au fur et à mesure que le virus se développait.
Comment faisaient les gens pendant les vraies guerres ? Est-ce qu’ils chantaient dans les abris? La suite ici