VIRUS DU COVID-19
Cette pandémie du VIRUS COVID-19 a entrainé un confinement de plus de deux mois puis un déconfinement de plus de vingts jours. Puis de nouveau un reconfinement. Chaque jour j’ai publié un article.
ÉCRIRE AU TEMPS DU VIRUS COVID 19
Au début et pendant dix-huit jours, j’ai participé à l’atelier d’écriture à partir d’une photographie proposée par Alexandra Koszelyk sur son blog . Puis, chaque jour, j’ai publié un texte,
MÉLI-MÉLO DÉCONFINÉ DU VIRUS COVID 19
A nouvelle période – ce dé-confinement – imposée par le Covid-19, une nouvelle rubrique apparait, un Méli-mélo déconfiné !
VIRUS DU COVID-19, LA SUITE
Après le confinement et le dé-confinement, une autre période commence. Un temps pour écrire une histoire ou un poème sur l’actualité la pandémie.
Qu’est ce qu’un virus ?
Un virus est un organisme incapable de se reproduire par division comme les cellules. Pour répliquer son acide nucléique (ADN ou ARN), il dépend d’une cellule hôte qu’il doit infecter pour détourner et utiliser son métabolisme : c’est un parasite intracellulaire.
NB: Pour ceux qui, comme moi, devaient réviser les cours de SVT du lycée, je conseille l’article « Cellule » de Wikipedia et son paragraphe sur les constituants d’une cellule. Voir le graphique ci-dessous à gauche. Je ferai, plus loin, référence au fait que que la membrane est semi perméable : elle possède une grande variété de protéines, qui jouent le rôle de canaux et de pompes assurant les transports entrant et sortant de la cellule. Elle a aussi des récepteurs qui assurent des mécanismes de signalisation cellulaire, ce qui permet à la cellule de réagir. Un virus (voir le graphique ci-dessus à droite) est composé d’une ou plusieurs molécules d’acide nucléique, le génome : ADN ou ARN, (souvent) incluses dans une coque protéique appelée capside, et parfois d’une enveloppe lipidique. Les virus sont classifiés, parfois désignés par l’apparence géométrique de leur capside constituée de nombreuses unités protéiques, se regroupant pour former des ensembles avec des symétries. Ainsi, les nucléocapsides icosaédriques ressemblent à des géodes. L’océan est un immense réservoir de virus : en surface près des rivages, les concentrations en virus sont de l’ordre de 10 millions de virus par millilitre. Ils jouent un rôle majeur dans le contrôle des cycles biogéochimiques. Pour les humains, seules 129 espèces de virus décrites (sur plus de 5000) sont pathogènes (nocives). Par André Galligo, Professeur émérite au Laboratoire Jean Alexandre Dieudonné