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Les livres rangés sur mes étagères ne me connaissent pas avant que je les ouvre, et pourtant je suis certain qu’ils s’adressent à moi en m’appelant par mon nom, ils attendent mes commentaires et mes opinions. Je suis pressenti dans Platon comme je le suis dans tous les livres, même dans ceux que je ne lirai jamais” Une histoire de la lecture – Alberto Manguel

Auteurs commençant par R dans la catégorie littérature contemporaine

Thomas B. Reverdy – Le grand secours

vagabondageautourdesoi.com - Thomas B. Reverdy - En immergeant son roman, Le grand secours, dans la journée d’un lycée, Thomas B. Reverdy raconte, par la fiction, l’enseignement dans un “quartier”, au cœur d’un département proche de sa capitale, mais si loin de ses préoccupations.

Candice est professeur de français au lycée de Bondy. Aujourd’hui, elle a invité un écrivain poète, en résidence pour 6 mois. En le rencontrant pour la première fois, elle doit le présenter aux élèves.

C’est un jour ordinaire, un lundi de janvier, et elle commence sa journée à 7 h 30 sur son vélo, en traversant le carrefour sous l’autoroute A3. Le roman se termine à la fin de la journée scolaire, vers 17 h. Tout a changé et pourtant, demain, sera identique !

Thomas B. Reverdy décrit une journée dans un lycée mais pas n’importe lequel, situé dans la Seine-Saint-Denis. Ce département est toujours raconté ou filmé pour illustrer les différents plans de la politique de la ville. Il fait la une des chaînes d’Infos lors de l’embrasement de ses cités. Quoique, maintenant, il s’efface devant la troisième ville de France, devenue vitrine de l’intervention présidentielle ! La suite ici

Alice Renard – La colère et l’envie

Prix Méduse 2023

vagabondageautourdesoi.com Alice Renard- Alice Renard, primo-romancière, toute jeune femme, propose un roman captivant sur l’étrangeté d’une enfant et sa découverte de la liberté à l’adolescence.

De cette enfant différente, de sa venue chez Camillio et Maude, ses parents, qui de sa naissance à ses trois, quatre ans se sont inquiétés, Alice Renard nous en raconte par le menu, l’histoire en alternant les points de vue de son père et de sa mère.

Et de ces deux récits qui forment la première partie, le lecteur retient, l’inquiétude, la honte, l’enfermement et l’agressivité rentrée, insidieuse, des parents pas comme les autres. Tout bouleverse le bon sens de ces deux adultes !

Elle est sapeur-pompier, avec une propension certaine à être le sauveteur du monde. Lui est laveur de vitres sur les buildings. Solitaire, il affronte le vertige, les environnements escarpés. Tous deux sont habitués aux situations périlleuses. La suite ici

Leonor de Recondo – Le Grand Feu

vagabondageautourdesoi.com - Leonor de Recondo - Dans Le Grand Feu, Léonor de Recondo sait magnifiquement composer les mots, comme un bouquet illuminant une pièce. Dès les premières pages, la poésie de la vie se confronte à la permanence de la mort. Car cette fin du Moyen-Âge, au cœur de la ville riche et commerçante de Venise, en décrit aussi bien l’intense beauté que la peste rampante et insidieuse, avec au cœur de cette situation, le couple de Giacomo et Francesca et leurs filles.

La dernière vient de naître. Francesca la laisse intégrer dès sa naissance La Piètà pour sanctifier la grandeur d’un chant liturgique à la vie obscure à l’arrière d’une boutique de tissus. Cette école publique forme des fillettes à la musique de haut niveau malgré le régime presque carcéral subi.  Leur fille, Iliana Tagianotte, sera une de leur meilleure violoniste formée par les anciennes de l’école et surtout élève apprentie du musicien Antonio Vivaldi, professeur à l’école.

En plongeant dans ce XVIIè siècle, Léonor de Recondo entremêle ses deux passions, le violon et la musique baroque, avec un brio remarquable. Suivre l’évolution de l’enfant devenue jeune fille au cœur de cet univers est une délectation rare d’autant plus que sa découverte de la musique la transplante au cœur du grand feu de la passion.

Car, Léonor de Recondo sait décrire l’embrasement ressenti. Le choix des mots raconte les émotions vécues, les sensations perçues et le bonheur irradiant. J’avais peur du “trop”, éloignant de la réalité. L’apprentissage de cette passion se fait par une enfant si éloignée de l’affection et de la tendresse, dans son quotidien, que l’exaltation est justifiée tant cette découverte lui est déstabilisante. La suite ici

Faut savoir dire Non

vagabondageautourdesoi;com - Faut savoir dire non - Faut savoir dire non, certes tout le monde est d’accord ! Mais, apprendre à nos enfants, et surtout à nos très jeunes enfants, à savoir dire non, permet concrètement, d’appréhender la notion incontournable du consentement.

Agnès Rosentiehl s’est attelée au sujet et propose un album pour les touts-petits. A partir de différents cas concrets, différents enfants, elle décrit des situations où la parole de l’enfant doit être prise en compte. Que ce soit pour aller aux toilettes, laver son intimité ou ne pas chanter la chanson d’anniversaire, le consentement de l’enfant est encouragé et s’il dit “non”, l’autre doit respecter l’avis, même d’un très petit.

Difficile pour les parents au moment où la personnalité de l’enfant s’affirme et que le “non” apparaît partout d’aborder, peut-être, ce sujet. Alors, n’est-ce pas aux grands-parents d’expliquer, au de-là des situations proposées, d’aider l’enfant à démêler le “non” né par envie obéir avec le nom du refus du consentement. La suite ici

Arnaud Rozan – Mémoire de Maisons blanches

vagabondageautourdesoi.com - Arnaud Rozan - Poème, fresque historique, conte et roman, la seconde histoire d’Arnaud Rozan est tout à la fois ! Du Ghana à Washington DC, Mémoires de Maisons blanches pose le problème de la nécessaire reconnaissance du préjudice subi au cours des siècles par la population Afro-américaine.

Par touches successives, associées à des œuvres d’art diverses et particulièrement variées, Arnaud Rozan questionne l’Histoire américaine avec les Africains, devenus avec l’esclavage, Américains, en associant Joe Biden au moment de son investiture à une figure du folklore Africain. En effet, ce dernier, héros culturel, est censé capter la sagesse de l’Histoire avec sa calebasse. Appelé par ceux qui souffrent, Anansi partage son savoir même si son apparence prend des formes surprenantes.

En remontant Pensylvania Avenue, Joe Biden, bientôt vieux roi fatigué, songe à la promesse faite à son fils, Beau. Alors, il voit apparaître Anansi, invisible aux autres, déesse invoquée pour sauver les âmes en peine, déguisée alors en clocharde, montrant une calebasse fendue avec un crabe bleu en son milieu. Est-ce que le vieux roi saura partager le message de la divinité qui porte le souvenir de tous ceux qui ont souffert pour bâtir le pays ? Lui qui connaît la souffrance de perdre un enfant ! La suite ici

Paco Roca – Retour à l’Eden

vagabondageautourdesoi.com - Paco Roca - À partir de quelques photographies, Paco Roca part à la découverte de la vie de sa mère pour lui rendre hommage. Issue du milieu ouvrier, elle subit de plein fouet le franquisme, et sa misère organisée, mais aussi le pouvoir du mari et l’emprise de l’église. Pourtant, Antonia ne voudrait pour rien au monde changer de vie, avec son « jardin d’Eden », cet espoir qui l’accompagne,  comme la photographie de cet instant figé sur une plage lors d’un après-midi en famille…

C’est un récit sensible, émouvant et terriblement pudique. Antonia a envie, plusieurs fois, de s’émanciper des différentes autorités. Néanmoins, rattraper par leurs mainmises, elle cède autant de fois. Seulement, la force de cette femme se situe dans l’espoir, toujours renouvelé, de connaître un jour un peu de ce jardin d’Eden auquel elle aspire !

La beauté de Retour à l’Eden se situe dans son format particulier et sa mise en page inhabituelle. Les pages de couleur noire du début introduisent l’univers poétique de Paco Roca. Puis les chapitres se construisent en toile d’araignée qui éclaire le vécu familial d’Antonia. La suite ici

Isabelle Rossignol – Chambre 152

vagabondageautourdesoi.com - Isabelle Rossignol - Isabelle Rossignol fait son retour dans la littérature adulte après de nombreux ouvrages  enfants et ados avec ce petit livre, court, intense et poétique sur le sujet sensible sur la fin de vie.

Véritable plaidoyer pour une mort sans acharnement et sans souffrance, Chambre 152 décrit par touches, empreintes de colères mais aussi d’amour et de tendresse, ces heures où on accompagne l’être aimé pour quitter peu à peu notre univers.

En 152 courts paragraphes, comme des salves, souvent sans ponctuation, la narratrice semble hurler sa douleur de voir sa mère sur un lit d’hôpital, sous respirateur, sans parole, subir l’acharnement thérapeutique des personnels médicaux. La suite ici

Marie Richeux – Sages Femmes

vagabondageautourdesoi.com - Marie Richeux - Marie Richeux propose avec son roman Sages Femmes une pléiade de portraits de femmes en touches successives qui sont reliés entre elles, comme les fils d’un tissu, à travers leurs expériences et leur passé.

La narratrice Marie commence son récit au carrefour d’un chemin de Lozère où, sous une statue de la Vierge est écrit « Et à l’heure de notre ultime naissance ». Parallèlement, sa petite fille, Suzanne, de trois ans, passe son temps à chercher quelque chose en posant la question « Elle est où, sa maman? » C’est le point de départ de l’enquête qu’elle souhaite mener sur les femmes de sa famille.

La narratrice se met à fréquenter les archives pour retrouver des traces de sa filiation qu’elle découvre sur plusieurs générations être fille mère mais aussi dont le métier est tisseuse, comme un lien encore avec leur conditions. A partir de ces réflexions, la narratrice se laisse volontairement envahir par toute sorte de sujets qu’elle nous partage et s’interroge sur la transmission, le regard sur ces femmes, sur la broderie et le tissage et aussi sur le droit au secret. La suite ici

Olivia Ruiz – Écoute la pluie tomber

vagabondageautourdesoi.com - Olivia Ruiz - Le deuxième roman d’Olivia Ruiz vient de sortir avec une promotion assumée directement par l’auteure-compositrice-interprète, actrice et réalisatrice. Car, c’est peu dire que cette artiste utilise toutes les formes d’art pour exprimer son talent.  Écoute la pluie tomber raconte une histoire de femmes volontaires, engagées et téméraires dans un petit village languedocien autour d’un café, lieu de convivialité par excellence.

La perte d’une nièce rouvre les portes d’un passé douloureux et caché. Du coup, le lecteur en devient le témoin. La suite ici

Mabrouck Rachedi – Tous les mots qu’on ne s’est pas dit

vagabondageautourdesoi.com - Mabrouck -Dans tous les mots qu’on ne s’est dit,  Mabrouk Racheti fait le récit des sentiments pudiques qui entourent les liens familiaux, et peut-être surtout de cette famille Asraoui, jamais dits mais si forts ressentis. De l’exubérance rencontrée dans la vie quotidienne, l’effacement se fait pour parler de l’intime.

Autour de l’anniversaire de Fatima, la mère de soixante-dix ans, la famille se réunit sur une péniche et décide de lui offrir la présence de ses dix enfants avec leurs conjoints et leurs enfants, mais aussi celle de la tour Eiffel qu’elle n’avait jamais vue malgré ses nombreuses années passées en France La suite ici

Remedium – Cas de force majeure

vagabondageautourdesoi.com Remedium -

Remedium présente un nouveau cas. Pour cette rentrée, ce sont les histoires de violences policières ordinaires. Dans ce sous-titre, ce qui choque, ce ne sont pas les violences policières, il y en a toujours eu. Non, c’est qu’elles soient devenues ordinaires !

A partir de vingt portraits, Remedium raconte des vies ordinaires qui, un jour, ont été écrasées par le déchaînement de la violence de la police. Dans un état de droit, la police protège les citoyens quel qu’ils soient et quel que soit leur origine, leur faciès et leur quartier.. La suite ici

Adèle Rosenfeld – Les méduses n’ont pas d’oreilles

vagabondagautourdesoi.com - Adèle RosenfeldAdèle Rosenfeld raconte dans Les méduses n’ont pas d’oreilles le quotidien de Louise F., la trentaine née en banlieue parisienne avec ses yeux marrons et son petit mètre soixante, écartelée par une dichotomie qui envahit son quotidien.

Une de ses oreilles est inapte à entendre d’où son appareil auditif caché comme est passé sous silence son handicap. Les cheveux recouvrent les oreilles et personne ne s’en rend compte puisque, en plus, elle n’en dit rien. La suite ici

Alain Rémond – Ma mère avait ce geste

vagabondageautourdesoi.com Alain Rémond

Alain Rémond raconte comme si nous étions assis, ensemble, dans des fauteuils confortables devant un feu qui crépite et que la nuit avance, son cancer, son espoir et son combat. Et, voilà que celui de sa mère s’invite dans cet univers feutré. Et lui à vingt-cinq ans espère qu’elle ne peut être vraiment malade, au point d’en mourir. Ce n’est qu’après que la peur dévore celui qui y pense !

Alors, Alain Rémond décide de reprendre son enfance pour aller chercher loin en lui, les moments de bonheur qui lui sont attachés. Et, Trans, son village, sa maison, ses frères et sœurs se révèlent. N’allez surtout pas, comme une de ses lectrices ou les copains de ses dix ans, y faire un tour car, comme eux, vous serez déçu ! Dans Ma mère avait ce geste c’est le village coloré par ses bulles d’amour et d’émotions que nous découvrons ! La suite ici

Léonor de Recondo – Revenir à toi

vagabondageautourdesoi.com Leonor de Recondo - Décidément, cette rentrée littéraire 2021 est étonnante et Revenir à toi de Léonor de Recondo ne déroge pas à l’unité que j’y pressens, celle qui imbrique les récits sur l’intime. Léonor de Recondo propose à partir du récit des retrouvailles entre une fille et sa mère disparue, un cheminement de renaissance, en s’appuyant sur les mythes antiques, qui débouche sur une liberté délestée du poids de l’absence et du manque.

Magdalena, comédienne reconnue, doit jouer Antigone de Sophocle au prochain Festival d’Avignon. La prochaine répétition aura lien dans quelques jours. Néanmoins, un matin, elle reçoit de son agent un message attendu depuis trente ans. « On a retrouvé ta mère, voici son adresse …! » La suite ici

Yasmina Reza – Serge     Rentrée littéraire Janvier 2021

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Serge est présent depuis le début dans tous les romans, et même les pièces, de Yasmina Reza. L’auteure donne une réalité fictionnelle à son ami de littérature qui a contribué à son succès.

Jean raconte sa famille, la famille Popper, au moment où les enfants se retrouvent orphelins de leurs deux parents juste après le décès de leur père.

Jean décrit leur vie d’après et notamment celle de son frère ainé Serge, héros flambeur de son enfance mais qui se révèle malade d’anxiété et de peurs. Dans sa narration, il associe aussi sa sœur cadette, Anne dite Nana, au destin si dissemblable de ses frères qui a accompagné sa mère jusqu’à la fin. La suite ici

Nicolas Rodier – Sale bourge

Les fleurs de l’ombre – Tatiana de Rosnay

La commode aux tiroirs de couleurs – Olivia Ruiz

Que la guerre est jolie – Christian Roux

La leçon de ténèbres – Léonor de Recondo

Auteurs commençant par R dans la catégorie essais

Willy Ronis – Se retrouver

vagabondageautourdesoi.com - Willy Ronis - Les photographies de Willy Ronis (1910- 2009) rassemblées dans Se retrouver dégagent chaleur et apaisement. Ce désir de fête, de danse et d’insouciance qu’il a photographié après guerre évoque aujourd’hui avec justesse ce qui nous a tant manqué pendant cette pandémie. Être ensemble !

Le Musée de Pont-Aven propose de se replonger dans ses clichés, rassemblés par Sophie Kervan et Ronan Guinée. Pour ceux qui ne pourront pas, comme moi, la visiter, le catalogue présente plus d’une centaine de tirages accompagnés des focus des commissaires.

Willy Ronis fut un photographe peu exposé durant son vivant. Ce n’est que dans la dernière partie de sa vie que le grand public a découvert son regard empathique et engagé.

Rappelez-vous cette photo d’une syndicaliste haranguant les ouvriers de l’usine Citroën-Javel en 1938 ! Ou celle du Petit parisien en 1952, un gamin courant avec sa baguette de pain ! Elles sont issues de reportages commandés par divers journaux. La suite ici

Vivian Maier – Catalogue

vagabondageautourdesoi.com Vivian Maier Catalogue Avec sa couverture jaune soutenu très années soixante, le catalogue de l’exposition Vivian Maier est une petite pépite  créé sous la direction d’Anne Morin, commissaire de l’exposition du Musée du Luxembourg.

Céline Walter accompagne de ses mots poétiques ce recueil des photographies exposées pour la première fois à Paris. Habitant la Côte d’Or, elle s’est fait connaître en écrivant certains des Portraits dans le journal Libération. Actuellement, elle se consacre entièrement à son écriture poétique et sensible en répondant à divers projets. La suite ici

Le Tableau amoureux – Jacques Renoir

Auteurs commençant par R dans la catégorie romans policiers

Ian Rankin – Un cimetière dans le cœur

vagabondageautourdesoi.com - Ian Rankin - Vingt-cinquième tome de John Rebus, le flic de Ian Rankin, Un cimetière dans le cœur est son dernier opus. À force de flirter avec la loi et le droit, Rebus se retrouve assis sur le banc des accusés, en bien mauvaise posture.

À Édimbourg, le confinement est enfin fini et les affaires reprennent. Seulement, John Rebus, l’ex-flic taciturne, mal luné et pas souvent sobre, est vieux et malade avec sa bronchite chronique qui l’assaille quelques fois.

Heureusement dans le tribunal, il y a presque personne car, hagard, Rebus ne semble pas s’être remis de ce qui lui arrive. Puis, Ian Rankin remonte le passé. Sa proximité avec le parrain de la ville, Big Ger Cafferty, qui lui demande d’enquêter, avec ses liens d’amitié avec Siobhan Clarke, son ex-collègue à la division criminelle spéciale, ne vont pas faire bon ménage… La suite ici

Dolores Redondo – La face nord du cœur

vagabondageautourdesoi.com Grand Prix des lectrices de Elle 2021

Pendant presque sept cents pages, Dolores Redondo enchante avec son polar « La face nord du cœur » en faisant voyager aux États-Unis, et plus particulièrement à La Nouvelle-Orléans pendant l’ouragan Katrina, mais aussi à Elizondo, un petit village du Pays basque espagnol.

A l’académie du FBI de Quantico en Virginie, la sous-Inspectrice Amaia Salazar, en formation, s’apprête à suivre une conférence de l’Agent spécial Dupré, 44 ans, originaire de Louisiane. Directeur depuis un an d’un des trois départements des sciences comportementales du pays, il fait autorité dans l’étude de la victimologie avec ses formations en droit, économie, histoire de l’art, criminologie et psychologie. La suite ici

Le suspendu de Conakry – Jean-Christophe Rufin

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