CHRONIQUES DE FILMS

Ma part de Gaulois – M.Chibane

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Librement inspiré de Ma part de Gaulois, roman autobiographique de Magyd Cherfi, qui signe la musique, le film de Malik Chibane raconte le parcours d’un adolescent de la fin du collège à son baccalauréat. Il est poussé par une mère qui souhaite que son fils réussisse dans le Toulouse au moment des années 70.
Premier de la famille, mais aussi du quartier, à obtenir son bac, l’adolescent (Abdellah Charki) satisfait ainsi le désir d’intégration de ses deux parents.

Le film met la focale sur la mère (Adila Bendilerad, coréalisatrice), comme un hommage à cette actrice maghrébine. L’exil l’a déclassée puisque son père, avocat fils de juge, devait lui apprendre à lire et écrire ce qu’il n’a pas eu le temps de réaliser. Alors, elle reporte ses espoirs sur son seul enfant qui semble être prédisposé aux études. La suite ici

Anatomie d’une chute – J.Triet

Palme d’Or du Festival de Cannes 2023

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Le film Anatomie d’une chute de Justine Triet ne cesse de rafler titres et distinctions. Bientôt, peut-être, les Césars (onze nominations) et les Oscars (cinq nominations)… Attente, bien sûr, fierté déjà, car ce film s’invite sur les écrans de tous !

Seulement quatre films, et la réalisatrice Justine Triet, accompagnée de son compagnon Arthur Harani, arrive au sommet avec un film qui dérange et interroge, jusqu’à la fin !

Elle, Sandra Voyter (Sandra Hüller) et lui, Samuel Maleski (Samuel Theis, à l’écran pour quelques scènes) se sont isolés au fond d’une vallée avec leur fils de onze ans (Milo Machado-Graner). Lors d’une matinée ensoleillée d’hiver, elle, écrivaine reconnue, reçoit une journaliste pour une interview. Seulement, elles sont obligées d’arrêter car, à l’étage, une musique empêche de s’entendre. La suite ici

Daaaaaali ! Quentin Dupieux

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FAN-TAS-TI-QUE aurait ponctué Daaaaaali en visionnant le film de Quentin Dupieux !

Que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer ! Absolument pas autobiographie, mais un vrai hommage à ce comédien, cet hurluberlu narcissique, mégalomane mais complètement esseulé que fut cet artiste prodigieux !

Jeune journaliste (Anaïs Demoustier) décide de réaliser une interview de Daaaaaali qu’elle idolâtre depuis toujours ! Difficile d’en dire plus, non pas pour éviter de divulgâcher, mais parce que c’est inracontable. La suite ici

La zone d’intérêt – J. Glazer

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Palme d’or – Festival de Cannes – 2023

Les quarante kilomètres autour d’un camp de concentration, les nazis l’appelaient La zone d’intérêt. Le film de Jonathan Glazer raconte l’intimité de la famille de Rudolf Höss, Obersturmbannführer, lieutenant-colonel nazi, commandant du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau de 1940 à 1943. Pour rappel, la solution finale fut mise au point à Auschwitz-Birkenau.

Ce grade d’Obersturmbannführer, Höss l’acquit, en raison de sa grande obéissance et de son esprit d’initiative, à l’été 42 par Himmler de passage au camp. Dans le dernier trimestre de 1943, Himmler écarte Höss d’Auschwitz pour organisation de corruption et soupçon d’entretenir des relations avec une prisonnière autrichienne.  La suite ici

Un silence – Joachim Lafosse

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Un film de Joachim LafosseUn silence, et de nouveau, c’est un fait de société qui entre au cinéma ! En apparence, cette histoire ne raconte absolument pas le milieu du français moyen. Ici, la société bourgeoise provinciale s’expose avec ses jouets. En premier, la maison est un hôtel particulier sur un terrain arboré avec piscine. Chaque adulte a sa voiture. Une se transforme en décapotable pour permettre au plus jeune de jouer les riches au sortir des boîtes de nuit. Seulement, des premiers détails choquent. La première séquence du film nous montre le regard d’Astrid, Emmanuelle Devos, dans un rétroviseur, conduisant d’un point à un autre. Elle réagit, comme vous et moi, mais elle semble figée à l’intérieur, comme en état de sidération, mais animée. À un moment, une larme s’échappe d’un de ses yeux. La suite ici

Je verrai toujours vos visages – Jeanne Henry

Je verrai toujours vos visages revient sur le statut de victimes et tente de confronter celles-ci avec des agresseurs afin de faire évoluer les représentations de part et d’autre.

Comme moi, certainement, vous n’aviez jamais entendu de cette justice restauratrice ! Et, pourtant, au-delà des formules toutes faites du genre “on va pouvoir faire notre deuil” puisque la justice a statué ou “il faut maintenant tourner la page et avancer”, on le sait maintenant qu’il ne suffit pas de le vouloir pour pouvoir dépasser le traumatisme.

En réunissant une flopée d’acteurs de grande qualité, Jeanne Henry propose un univers où chacun va pouvoir évoluer en écoutant l’autre. Et, il faut bien dire que dans l’ambiance actuelle, ce moment de ciné.

Certes Je verrai toujours vos visages n’est pas une grande œuvre de cinéma mais c’est un cinéma humaniste où chaque acteur joue parfaitement sa partition et on aime bien ce cinéma, aussi ! La suite ici

La syndicaliste – Jean-Paul Salomé

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La syndicaliste de Jean-Paul Salomé raconte l’histoire vraie de la représentante syndicale d’Areva, Maureen Kearney (Isabelle Huppert) lanceuse d’alerte d’un scandale financier. Thriller politique, le film captive jusqu’à sa fin.

En effet, c’est la journaliste Caroline Michel-Aguirre du journal de l’Obs qui rapporte ce scandale d’état inspiré de Maureen Kearney, déléguée CFDT, qui a dénoncé les transferts technologiques que EDF a concédés à une entreprise majeure de l’industrie nucléaire, placée sous l’autorité de l’agence publique chinoise, laissant sur le carreau 50 000 salariés d’Areva. La suite ici

The Fabelmans – Steven Spielberg

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Steven Spielberg confie dans The Fabelmans sa passion pour le cinéma. Le spectateur entre dans l’intimité de cette famille des années 50/60 d’abord sur la côte Est, puis en Arizonna pour finir en Californie. C’est aussi l’occasion de rendre hommage à sa mère, Leah Adler, qui lui a ouvert le monde de l’Art.

Le film débute devant un cinéma où le père, Burt Fabelman (Paul Dano, excellent !) et la mère, Mitzi Fabelman (magnifique Michelle Williams) essaye de convaincre leur fils de 7/8 ans de bien vouloir entrer dans le cinéma pour voir le film “Le plus grand chapiteau du monde”.La suite ici

Divertimento Orchestre philharmonique

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Divertimento décrit le parcours pendant une année de jumelles, l’année de leur Bac. Zahia (Oulaya Amamra) et Fettouma (Lina El Arabi) ont intégré le prestigieux Lycée Racine à Paris célèbre filière musicale qui permet d’approcher les plus grands.

Depuis, leur plus tendre enfance, elles sont bercées par la musique symphonique classique. Fettouma pratique le violoncelle et Zahia Ziouani veut devenir Chef d’orchestre. Divertimento décrit le racisme social et sexiste qu’elles ont dû affronter pour faire reconnaître leur talent. La rencontre avec Sergiu Celibidache (interprété par Niels Arestrup) sera déterminante pour le rêve de la jeune fille d’être la première cheffe d’orchestre féminine. La suite ici

Les Cyclades

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Le film Les Cyclades ne s’inscrira peut-être pas dans les classiques cinématographiques, mais il est une bonne comédie, drôle et agréable à découvrir !

Le film Les Cyclades parle d’amitié. Deux collégiennes sont inséparables mais la vie fait qu’elles se perdent de vue. Un jour, le fils de l’une Blandine (Olivier Côte), pour sortir sa mère de la dépression due à sa séparation avec son mari, décide de contacter cette meilleure amie Magalie (Laure Calamy) pour le remplacer pour les vacances en Grèce. La suite ici

Les miens – Roschdy Zem

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Comme une catharsis, Roschdy Zem livre son sixième film « Les miens«  sur sa famille, son ancrage nécessaire car affectueux qui permet de passer les difficultés et sa reconstruction, plus unie que précédemment. Les petits pics vont se transformer en fossé délitant les liens familiaux autour du changement de l’un de ses membres, le frère aîné. Mais, comme Roschdy Zem est un optimiste, après la tempête, la famille se refonde autour de nouvelles bases. La suite ici

Les Amandiers – Valeria Bruni Tedeschi

Dans les années 80, le théâtre Les Amandiers, avec d’autres, était le lieu d’une création engagée vers une modernité que le public vivait comme un renouveau artistique. De plus, Les Amandiers étaient aussi une école d’où émergea des talents encore exploités aujourd’hui.

Valeria Bruni Tedeschi choisit de faire revivre cette période d’effervescence créatrice en suivant pendant six mois Patrice Chéreau et Pierre Romans dans la constitution de leurs troupes, jusqu’à la création de leurs spectacles respectifs. La suite ici

Mascarade – Nicolas Bedos

vagabondageautourdesoi.com - Nicolas Bedos En deux heures quinze, Mascarade de Nicolas Bedos raconte le monde des hyper-riches que des jeunes espèrent gruger pour partager un bout de leur gâteau. Et c’est relativement facile, si on accepte brimades, dépréciations et autres réjouissances du même style. Comédie dramatique, au goût pathétique où les hommes sont encore les sujets de femmes puissantes !

Le film Mascarade commence par une vue plongeante sur la côte d’Azur, Nice, sa promenade des Anglais et file vers l’hôtel Negresco.  La suite ici

La nuit du 12 – Dominik Moll

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La nuit du 12 c’est l’obsession d’un flic pour une enquête qu’il n’a pas réussi à résoudre. Et les yeux, ce visage sur l’affiche sont ceux Clara, victime d’un féminicide, brûlée vive un soir de retour de chez sa meilleure amie près d’un stade à quelques minutes de chez ses parents.

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Les Nuits de Mashhad – Ali Abbasi

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Le film Les nuits de Mashhad du réalisateur Ali Abbasi raconte le combat d’une journaliste qui, grâce à son opiniâtreté et ses convictions, a réussi à faire arrêter le tueur de l’Araignée, tueur en série reconnu responsable du meurtre de seize prostituées droguées en Iran.

Le film s’ouvre sur la traque d’un homme (Mehdi Bajestani), la quarantaine, circulant en moto dans la nuit de Machhad. C’est la troisième ville d’Iran,  sainte pour les Chiites. Après avoir chargé une prostituée, il l’emmène chez lui. Ils ont un rapport sexuel et il la tue. La suite ici

Incroyable mais vrai – Quentin Dupieux

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Incroyable mais vrai est le nouveau film de Quentin Dupieux. Ses films permettent de pénétrer dans un univers loufoque et même fantastique. Malgré tout, le réalisateur sort un film par an, en général complétement différent du précédent mais souvent avec la même bande de comédiens. Dans Incroyable mais vrai, Léa Drucker et Benoit Magimel rejoignent la bande.

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Festival de Cannes 2022

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« Des marches qui cheminent vers la révélation. Une célébration poétique de l’insaisissable et de la liberté. Une ascension pour surplomber le passé et s’avancer vers la promesse d’un renouveau. »

Communiqué officiel du Festival de Cannes

Crédits de l’affiche officielle du Festival de Cannes – Paramount Pictures Corporation – Jim Carrey, The Truman Show de Peter Weir / Graphisme © Hartland Villa

En hommage au Truman Show, réalisé par Peter Weir et sortie en 1998, la nouvelle affiche du Festival de Cannes de cette année est magnifique d’évocation de ce qu’on aime dans la vie, donc au cinéma ! L’acteur Jim Carrey monte les marches qui vont le mener peut-être au ciel, mais surtout à la révélation de la vérité, de la vie telle que nous la connaissons. La suite ici

Pedro Almodovar- Madres paralelas

https://www.spain.info/fr/destination/madrid/

Quel plaisir de retrouver Pénélope Cruz filmée par Pedro Almodovar dans son nouveau film, Madres paralelas, qui mêle la mémoire intime à celle collective de l’Espagne, mais que pour ce pays.

Pedro Almodovar confronte la vie de deux femmes éprises de liberté qui assument leurs grossesses, non désirées, seules, sans homme, ni père.

Janis (Pénélope Cruz) est une photographe de talent. Elle travaille dans une agence dirigée par son amie Elena ( Rossy de Palma), originaire du même village. Suite à une relation épisodique avec Arturo, anthropologue, elle attend un enfant.

Ana (Milena Smit) est une adolescente traumatisée, triste et déboussolée. Son père l’a renvoyée, suite à l’annonce de sa grossesse, à Madrid chez sa mère, Teresa, une actrice qui commence tout juste à percer (Aitana Sánchez-Gijón).

Elles se rencontrent à l’hôpital avant leur accouchement. Janis est tellement radieuse qu’elle remonte le moral d’Ana. La caméra suit l’accouchement de la première au plus proche de son ressenti. Son émotion devient rapidement communicative. Pénélope Cruz illumine de sa sérénité ces premiers moments du film. La suite ici

Catherine Corsini – La fracture

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Deux classes sociales vont s’entrechoquer une nuit dans un service des urgences hospitalières au bord de l’implosion où, au dehors, des violences policières se révèlent inédites.

Raf (Valeria Bruni Tedeschi ) inonde de SMS injurieux sa compagne Julie ( Marina Foïs ), dormant près d’elle dans son lit. Raf dessinatrice et Julie Éditrice appartiennent à cette classe dite « Bobo à l’aise ».

La rupture de vingt ans de vie commune s’annonce inéluctable. Seulement, le lendemain, en allant dîner chez une copine, une énième dispute et c’est la chute de Raf dans la rue. Puis le départ aux urgences avec un coude très douloureux.

En province, Yann ( Pio Marmai ), à bord de son camion, se fait une fête de manifester sur les Champs Élysées. D’ailleurs on le retrouve avec son copain entrain de parler à un CRS, mais trop proche, sur la grande avenue. Et, puis, d’un coup, ça dégénère ! Yann se retrouve aux urgences avec une dizaine d’impacts dans le mollet. La suite ici

Mathieu Amalric – Serre Moi Fort

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Pour son huitième long métrage, le réalisateur Mathieu Amalric revient avec un film sensible sur l’absence. A partir d’une pièce de théâtre de Claudine Galea, Je reviens de loin, il embarque le spectateur au sein d’une histoire de l’intime, parfaitement servie par la personnalité rayonnante de Vicky Krieps qui incarne une jeune femme qui décide de quitter le confort de son quotidien pour essayer de vivre ses envies.

Enfin, c’est ce qu’on comprend au début ! Car, je n’en dirais pas plus. Surtout, ne pas révéler plus, afin de laisser chacun découvrir le plaisir que procure le film !

Au fil des images, filmées au plus proche des acteurs renforçant l’intimité du propos, se dessine une toute autre histoire, bercée par une musique omniprésente. Le spectateur se laisse embarquer questionnant ses impressions mais subjugué par le sourire et la douceur aimante de la comédienne. la suite ici

Kelly Reichardt – First Cow

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La rétrospective du Centre Pompidou pour la réalisatrice américaine Kelly Reichardt vient de finir. Et son dernier film First Cow est sortie en France le 20  octobre 2021. C’est l’occasion de retrouver un cinéma implanté dans un territoire encore sauvage, l’Orégon, bien connue de la réalisatrice.

First Cow décrit vers 1820 les conditions de vie de migrants qui fuient la misère et espèrent trouver dans un ailleurs les conditions d’une vie décente. Cookie Figowitz est un de ceux-là. Il sauve King-Lu, un émigré chinois poursuivis par des russes prêts à venger un des leurs assassiné par légitime défense.

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Film – Les Intranquilles    Ne pas avoir honte !

N’ayant pas l’habitude de chroniquer les films que je découvre, je vais faire une exception pour Les Intranquilles,

sélection du festival de Cannes 2021 et sortie le 6 octobre de cette année.

Les Intranquilles décrit un couple au prise avec la psychose maniaco-dépression du mari. Je sais qu’on dit maintenant bipolarité.

Mais, souvent dans les médias, on confond bipolarité avec la dépression de changement de saison ou le sentiment d’exaltation à la veille des vacances ou même le blues du dimanche soir. Une psychose, c’est comme dit Damien à la fin du film « je ne vais pas en guérir« , lorsqu’il tente de prouver à Leïla qu’il va mieux et qu’elle peut lui faire de nouveau confiance ! La maladie est là à jamais, transformant la vie en alternance d’épisodes de manie suivis de dépression sévère. La suite ici

Le Festival de Cannes, pour rêver – Méli-Mélo déconfiné 10

Samedi, j’aurais du monter Les Marches…devant ma télé. Mon cœur de midinette ne résiste ni à la cérémonie d’ouverture et à celle de remise des prix. Regarder avec envie les corps magnifiés, les vêtements pailletés et faire des plans sur la comète pour mes prochaines découvertes et pester, pester encore, contre ces distributeurs qui attendent toujours l’automne pour que le Grand Prix soit enfin visible du grand public. Mais, cette année, pas de télé pop-corn !

Parce-que le cinéma m’a toujours fait rêver, j’aurai plaisir à oublier le masque sur mon nez, le jour où je me plongerai dans ma salle obscure préférée pour me laisser immerger dans un univers que je ne connais pas et qui deviendra le mien pour une heure ou deux.

A revoir ou à voir

@vagabondageautourdesoiActuellement, sur Canal + passe le film « Roubaix, une lumière » d’Arnaud Desplechin sortit à l’été dernier avant que les Césars 2020 récompensent son acteur principal Roschdy Zem avec un prix d’interprétation. La suite ici

Agnès Jaoui

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Une vie en six minutes. Agnès Jaoui a cinquante-six ans. Elle est comédienne, réalisatrice, scénariste, chanteuse …Quoi d’autres encore! On ne compte plus les distinctions.

Ainsi, Agnès Jaoui fait partie du collectif 50/50 qui lutte pour l’égalité des hommes et des femmes, la parité et la diversité dans le cinéma et l’audiovisuel. Elle participait ce mercredi 25 novembre à une table ronde et son discours revient sur sa carrière. La suite ici