Sous cette rubrique de Bric à brac, des chroniques différentes pour le plaisir, pour sourire, pour l’émotion, pour pleurer et même pour rire même, enfin tout plein de petites choses à partager. Merci pour vos retours !
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Un décret qui passe mal…
Les associations donnent la priorité à l’accueil physique, à l’écoute et à la protection. Alors que celles-ci souhaitent que toutes les mesures prises lors du confinement soient pérennisées, un décret gouvernemental, passé fin mai complétement inaperçu pendant le déconfinement, a provoqué un véritable tollé.
Alors que la loi adoptée à l’Assemblée nationale prévoyant de réduire le délai d’obtention des ordonnances de protection pour les femmes victimes de violences conjugales à 6 jours contre 42, un décret paru le 27 mai est venu mettre à mal cette initiative.
Il impose un délai de 24 heures à la victime pour qu’elle prévienne elle-même, par voie d’huissier, son compagnon ou ex-compagnon, qu’une ordonnance de protection a été demandée contre lui.
Si elle ne le fait pas, l’ordonnance devient caduque et tout est annulé. De plus, le ministère contraint les femmes à payer un huissier de justice pour effectuer cette démarche… Article trouvé auprès du Conseil général de Seine-Saint-Denis.
L’excellent article du magazine Le Monde qui est paru le 9 juin 2020 reprend ici les éléments cités précédemment.
Il reste tellement de travail… 😌
Oui mais on ne doit pas baisser les bras devant la tâche ! Bon weekend à toi 😉
C’est clair ! Bon week-end aussi 😉
C’est vraiment scandaleux de si mal protéger les femmes victimes de violence
Cet article du Décret doit être révisé seulement la presse ne semble pas reprendre les choses et du coup, les associations et les femmes galèrent !